Horoscope

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samedi 29 juin 2013

Arrêtez-vous un peu


Arrêter c’est mourir, dit le proverbe, mais parfois  il est important de …

 Pour se poser et  reposer,

 Pour penser et repenser

C'est que si nous n'arrêtons pas  on risque de fatiguer plus tôt

Arrêter-vous un peu pour méditer,

lundi 24 juin 2013

Prof en juin


« Les profs n’ont  le droit d'être en vacances qu'une fois qu'on a atteint tous les "objectifs.. »

samedi 22 juin 2013

Le bonheur est en nous


Malgré toutes les tempêtes les chutes et les larmes,nous devons toujours croire qu’il y a  quelque chose de bien ici-bas.
C’est la foi  qui doit jaillir de nous  et devra changer nos routes et trouver le bonheur qui est à l’intérieur de nous

vendredi 21 juin 2013

L'amitié


Les amitiés sont  faites  de  petits  riens de petits moments  que nous vivons avec chaque personne. Peu importe la longueur de  temps que nous passons  avec chaque ami, ce qui importe c’est la qualité du  temps que nous vivons avec lui.Cinq minutes peuvent avoir une  importance plus grande qu’un jour entier.Tout comme des amitiés sont  faites de rires et de douleurs partagés,d'autres sont faites d’études, de sorties,         de loisirs; certaines même naissent et les gens ne savent pas pourquoi. 

 Peut-être sont-elles faites de  silences compris,          ou de sympathie mutuelle sans explication.

De nos jours, de nombreuses amitiés  sont faites  de courriels.    Ce ne sont pas les moins importantes.  Ce sont les fameuses 
“amitiés virtuelles”. Bien différentes, mais non moins importantes.

 

Apprenons à aimer les personnes sans pouvoir les juger par leur apparence  ou manière d’être,sans  pouvoir (ce que parfois      nous faisons inconsciemment) les étiqueter.

 De profondes amitiés  sont ainsi créées.

Saint-Exupéry dit:

“C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait que ta rose est si importante à tes yeux”.

 Alors moi je dis : c’est  le temps que nous perdons avec chaque  ami qui fait que chaque ami est si  important.    Le temps perdu avec des amis est du temps gagné, bien employé, bien vécu.

 On s’en rappelle par la  suite. quelques minutes, ou  durant des années.

Un ami devient important pour  nous et nous pour lui, quand nous  sommes capables,  même en son absence,  de rire ou de pleurer, de se sentir  nostalgiques et alors d’attirer l’autre  tout près de nous.

Comme ça, nous pouvons avoir  de nombreux amis 

de différents milieux.

L’important est de savoir profiter  au maximum de chaque minute vécue et  d’avoir ensuite dans la valise de nos  souvenirs,des heures à  passer avec nos amis, même s’ils sont loin de notre regard.

jeudi 20 juin 2013

8 minutes


8 MINUTES
(Auteur inconnu)

Une légende raconte qu'une femme  pauvre avec un garçonnet dans les bras,

passait devant une caverne. Elle  entendit alors une voix mystérieuse

venant de l'intérieur qui lui  disait :« Entre et prends tout ce que tu désires, mais n'oublie pas le principal. »« Seulement souviens-toi d’une chose :

 après que tu sois sortie,la porte se fermera à tout  jamais. Cependant, profite de l'opportunité,mais n'oublie pas le principal. »

La femme entra dans la caverne et trouva beaucoup richesses.

 Fascinée par l'or et les  bijoux, elle déposa l’enfant à terre

et commença à amasser, anxieusement,  tout ce quelle pouvait mettre

dans son tablier.La voix mystérieuse lui rappela : 

«  Tu as seulement huit minutes. »   Les huit minutes épuisées, la femme,

chargée d'or et de pierres  précieuses,courut hors de la caverne

et la porte se ferma derrière  elle...Elle se rappela, alors,

que le  garçonnet était  resté à l’intérieur, mais la porte était fermée  à tout jamais !
  

La richesse dure peu  et le désespoir, toujours.

 

  La même chose, parfois nous arrive.

Nous avons quelque 80 ans  pour vivre en ce monde,

et toujours une voix intérieure  nous rappelle : 

  « N’oublie pas le principal ! »

Le principal : ce sont les  valeurs spirituelles,

la conscience, la vigilance, la   famille, les amis, la vie...

 

Mais l’appât du gain, la  richesse,

les plaisirs matériels nous fascinent  tellement

que le principal reste toujours  de  côté.

 

  Ainsi nous épuisons notre temps ici-bas,

et nous laissons de côté  l'essentiel :

 ”Les trésors de l'âme.”

Nous ne devons jamais oublier

que la vie en ce monde,  passe rapidement

et que la mort arrive de  façon inattendue.

Et lorsque la porte de cette  vie se fermera

pour nous, les lamentations ne serviront à rien.

 Nous vivons dans un monde rempli de problèmes, d’angoisses, de corruption, de vandalisme,  d’injustices, mais tout cela arrive parce que nous avons oublié  le  principal... 

 L’AMOUR, LA PAIX, L’HUMILITÉ, LA SINCÉRITÉ, LA PURETÉ, LA TENDRESSE ET L’INNOCENCE DES ENFANTS. S’IL TE PLAIT, SOIS HEUREUX  À CHAQUE INSTANT, À CHAQUE MOMENT DE TA VIE, MEME LORSQU’UN PROBLÈME APPARAÎT.

 LA VIE, PROFITES-EN, SOIGNE-LA, ÉPRENDS-TOI  D’ELLE AFIN QUE TU NE TE REPENTES  DE RIEN,MÊME SI TU AS MANQUÉ

OU N’AS PU FAIRE QUELQUE  CHOSE.

mercredi 12 juin 2013

Avant de divorcer, lisez ...


Tu dois lire ceci !

C'est un peu long mais c'est vraiment intéressant ...
Lorsque je suis arrivé à la maison et que ma femme servait le dîner je lui ai pris la main et lui ai dit: j’ai quelque chose à te dire. Elle s’asseya et tranquillement sans dire un mot mangea.

Encore une fois je vis la peine dans ses yeux.

Soudainement je ne savais plus ouvrir la bouche. Mais je devais lui faire part de ce que je pensais. Je veux divorcer. J’ai soulevé le sujet calmement. Elle n’a pas semblé contrariée par mes paroles, elle m’a simplement demandé pourquoi?

J’ai fuis sa question. Elle s’est alors fâchée. Elle lança les baguettes et cria vers moi, tu n’es pas un homme!

Ce soir là nous ne nous sommes pas adressé la parole. Elle pleurait. Je savait qu’elle voulait savoir ce qui était advenu de notre mariage. Mais je ne pouvais lui donner une explication satisfaisante, elle avait perdu mon cœur pour Jane. Je ne l’aimais plus. J’avais seulement de la pitié pour elle!

Avec un énorme culpabilité, je lui fis part de mes arrangements pour le divorce, que je lui léguais la maison, l’auto et je mettais en jeu 30% de mon entreprise. Elle y jeta un coup d’œil et le détruisit en morceaux.

Cette femme qui avait passé 10 ans de sa vie avec moi, était devenue une étrangère. J’étais désolé pour elle de ce temps gaspillé, de ressource et d’énergie, mais je ne pouvais reprendre ce que je venais de lui dire, car j’aimais Jane chèrement.

Soudainement elle s’est mise à pleurer très fort devant moi, ce à quoi je m’attendais. Dans le fond, ses pleurs étaient pour moi une délivrance.

Cette idée de divorce qui m’obsédait depuis plusieurs semaines, me semblait maintenant plus ferme et claire.

Le jour suivant, je suis revenu à la maison très tard, et l’ai trouvée assise à la table en train d’écrire. Je n’ai pas soupé et je suis directement allé me coucher et m’endormir aussitôt car j’étais fatigué de ma journée mouvementé avec Jane.

Lorsque je me suis réveillé, elle était toujours assise à la table à écrire. Je ne m’en suis pas occupé, je me suis retourné de côté et rendormi à nouveau.

Au matin elle me présenta ses conditions de divorce: elle ne voulait rien de moi, mais avait besoin d’un mois d’avis avant le divorce.

Sa requête était que, durant ce mois, nous devions tous deux se battre pour vivre une vie aussi normal que possible. Sa raison était simple: notre fils devait passer un examen à la fin de ce mois là et ne voulait en aucun cas, le déranger avec un mariage brisé.

C’était parfait pour moi. Mais elle ajoutait autre chose, elle me demanda de lui rappeler comment je l’avais transportée dans notre chambre nuptial le jour de notre mariage.

Sa deuxième requête était que durant ce mois, je devais la transporter de notre chambre au seuil de la porte tout les matins. Je croyais qu’elle devenait folle. Pour faire de ses derniers jours supportables, j’acceptais son étrange requête.

J’avisais Jane des étranges conditions de divorce. Elle s’est mise à rire et croyait elle aussi, que c’était absurde.

Jane me dit avec m’épris, que peu importe les ruses qu’elle prendrait, elle devait faire face au divorce.

Ma femme et moi n’avions plus aucun contact physique depuis que j’avais pris la décision de divorcer.

Alors quand j’ai dû la sortir de la chambre le premier jour, nous étions tout les deux maladroits. Notre fils applaudissait derrière nous, papa porte maman dans ses bras. Ces mots m’apportaient de la peine. De la chambre au salon, ensuite à la porte, j’ai marché environ 10 mètres avec elle dans mes bras.

Elle ferma les yeux et me demanda doucement de ne pas parler du divorce à notre fils. J’ai fais oui de la tête, j’ai ressenti un étrange sentiment plutôt bouleversant. Je l’ai déposée par terre à l’extérieur de la porte. Elle est partie attendre l’autobus pour le travail. J’ai conduis seul jusqu’au bureau.

Le deuxième jour, tous les deux agissions plus facilement. Elle s’appuya sur mon estomac. Je pouvais sentir la fragrance de sa chemise. Je réalisais que je n’avais pas regardé cette femme attentivement depuis un bon bout de temps. Je réalisais qu’elle n’était plus jeune.

Il y avait des rides sur son visage, ses cheveux grisonnaient ! Notre mariage avait fait des ravages sur elle. Pour une minute je me suis demandé ce que je lui avais fais.

Le quatrième jour, j’ai ressenti un retour d’intimité. C’est cette femme qui m’avait donné 10 ans de sa vie.

Le cinquième et sixième jour, je réalisais que l’intimité ressentie grandissait à nouveau. Je n’ai pas parlé de ceci à Jane. Il était plus facile de la transporter au fur et à mesure que le mois avançait.

Peut-être que ce travail chaque jour me rendais plus fort.

Un matin qu'elle tentait de choisir quoi porter, elle essaya quelques robes mais ne parvenait pas à trouver la convenable. Elle murmura que toutes ses robes étaient devenues trop grandes.

Soudainement je prenais conscience qu’elle avait maigri, et c’est la raison pour laquelle je pouvais la transporter plus facilement.

Cela me frappa… elle avait enterré tant de peine et d’amertume dans son cœur. Inconsciemment j’ai atteint et touché sa tête.

Notre fils est arrivé à ce moment et a dit: "papa il est temps de porter maman dehors". Pour lui, voir son père transporter sa mère dehors était devenu une partie essentiel à sa vie. Ma femme fit un geste à notre fils de venir plus près et le serra très fort.

J’ai tourné la tête parce que j’avais peur en cette minute de changer d’idée. Je l’ai ensuite prise dans mes bras, marchant de la chambre au salon et dans l’entrée. Elle mit ses bras autour de mon cou tout doucement et naturellement. J’ai tenu son corps serré, c’était comme le jour de notre mariage. Mais sa maigreur me rendait triste.

Le dernier jour, lorsque je l’ai prise dans mes bras, je pouvais à peine bouger d’un pas. Notre fils était parti pour l’école.

Je la tenais fermement et lui dit: "je n’avais pas remarqué que notre vie avait manqué d’intimité".

Je conduisis jusqu’au bureau… rapidement je sautai hors du véhicule, sans barrer les portes. J’avais peur qu’un seul délai puisse me faire changer d’idée… je montais les marches. Jane ouvrit la porte et je lui dis: "désolé Jane, je ne souhaite plus divorcer maintenant".

Elle me regarda sidérée et me toucha le front. Fait tu de la fièvre? Je retirai sa main de mon front. Désolé Jane, mais je ne divorce pas. Ma vie de mariage était probablement devenu ennuyeuse parce que, ni elle ni moi n’avions évalué les détails de nos vies, mais non parce que notre amour était mort. Maintenant je réalise que depuis le jour ou je l’ai transportée dans notre demeure le jour de notre mariage, c’est mon devoir de la soutenir jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Jane semblait soudainement se réveiller. Elle me gifla violemment et claqua la porte puis éclata en sanglots. Je redescendis l’escalier et je suis parti.

En route, j’arrêtai chez un fleuriste, j'ai commandé un bouquet de fleurs pour mon épouse. La vendeuse me demandait ce qu’elle devait écrire sur la carte. Je souris et écrivis "je te porterai dehors tout les matins jusqu’à ce que la mort nous sépare".

Cet après-midi là j’arrivais à la maison, fleurs à la main, sourire aux lèvres, je montais les marches à la course, pour retrouver ma femme seule dans son lit - morte.

Ma femme se battait contre un CANCER depuis des mois, mais j’étais tellement préoccupé avec Jane pour seulement m’en apercevoir.

Elle savait qu’elle allait mourir sou peu et elle voulait me préserver, peu importent les réactions négatives de notre fils, au cas où nous aurions divorcé. -- Au moins, aux yeux de mon fils -- je suis un mari aimant…

Les plus petits détails de votre vie sont ce qui compte vraiment dans une relation; ce n’est pas la demeure, l’auto, la propriété, l’argent en banque. Ceci crée un environnement favorable pour la joie mais ne peut donner la joie à soi-même.

Alors trouvez du temps pour être l’ami de votre épouse et faites ces petites choses l’un pour l’autre, qui crée l’intimité.

Ayez vraiment un mariage joyeux!

Si vous ne partagez pas ceci, rien ne vous arrivera.

Si vous décidez de le faire, vous pouvez peut-être sauver un mariage.

Beaucoup d’échecs dans la vie, viennent du fait que, les gens n’ont pas réalisé combien ils étaient près du succès, lorsqu’ils ont abandonné.

lundi 10 juin 2013

Renseignement SVP !


Renseignement SVP !

 Lorsque j'étais très jeune,  mon père a eu l'un des premiers  téléphones dans notre voisinage. 
Je me rappelle très bien la vieille boîte en bois,
bien polie fixée au mur et le petit récepteur noir, bien lustré, accroché sur son côté. 


 J'étais trop petit pour atteindre  le téléphone, 
mais j'étais habitué à écouter
avec fascination ma mère lui parler.

J'ai, par la suite, découvert que quelque part, dans ce merveilleux appareil,
vivait une personne fantastique ... 


 

... son nom était  Renseignement SVP  
et
il n'y avait rien qu'elle ne savait pas.

 Renseignement SVP 
pouvait fournir le numéro de n'importe qui
en plus de l'heure exacte.

Ma première expérience personnelle  avec ce  génie dans une bouteille 
s'est produite un jour où ma mère  était partie chez une voisine.  

Je m'amusais au sous-sol, et  je me suis donné un violent coup  de marteau sur un doigt. La douleur était terrible, mais il ne semblait pas y avoir de raisons pour que je crie. J'étais seul et personne ne pourrait m'entendre et me réconforter.Je faisais les cent pas autour  de la maison, 
en suçant mon doigt pour finalement arriver devant l'escalier.
Le téléphone !!!   Rapidement, j'ai couru chercher   le petit tabouret dans la cuisine  et je l'ai traîné jusque devant le téléphone. 
Je suis monté dessus, 
j'ai décroché le combiné t l'ai placé contre mon oreille.
« Renseignement SVP »
dis-je dans le microphone,   juste au-dessus de ma tête

Un click ou deux...   et j'entends une petite voix claire me dire :
« Renseignement »
Je dis alors : « Je me suis fait mal au doigt »« Est-ce que tu saignes ? »
m'a demandé la voix.

Je lui réponds :
« Non, je me suis frappé le doigt
avec un marteau et ça fait très mal »
  
Elle me demande alors :


«Peux-tu ouvrir la boîte à glace ? »  Je lui répondis que oui je pouvais.
  « Alors, prends un petit morceau   de glace et pose le sur ton doigt »
me dit-elle.
Après cette expérience, j'ai  appelé Renseignement SVP pour n'importe quoi.  
Je lui ai demandé de l'aide pour ma géographie et elle m'a dit où se trouvait Montréal.  Elle m'a aidé aussi avec mes mathématiques.

Elle m'a dit que le petit écureuil, que j'avais trouvé dans le parc, la journée précédente, devait manger des fruits et des noix.U
n peu plus tard, mon petit  canari est mort. 

J'ai donc appelé Renseignement SVP
et lui ai raconté ma triste histoire.  Elle m'a écouté attentivement et m'a dit les choses usuelles qu'un adulte dit pour consoler un enfant, mais j'étais inconsolable. 

 
Alors, je lui ai demandé,  la gorge serrée :

« Pourquoi les oiseaux
chantent si merveilleusement et procurent tellement de joie aux familles, seulement pour finir comme un tas de plumes dans le fond d'une cage ? »


 Elle a probablement ressenti mon profond désarroi et me dit alors, d'une voix si calme :

« Paul, rappelle-toi toujours qu'il existe d'autres mondes où l
on peut chanter »

D'une certaine façon, je me sentais mieux.  
Une autre fois, j'utilisais le  téléphone : 
« Renseignement SVP »

« Renseignements »
me répondait la voix,
maintenant devenue si familière.

Je lui demande alors :
« Comment  épelez-vous le mot réparation ? » 


Tout ça se passait dans  la ville de Québec.   Alors que j'avais 9 ans,
nous sommes déménagés à l'autre bout   de la province, à Baie-Comeau.
  Je m'ennuyais terriblement de mon amie. 

Renseignement SVP
appartenait à cette vieille boîte en bois de notre maison familiale, et, curieusement,  je n'ai jamais songé à utiliser le nouvel appareil téléphonique étincelant, posé sur   une table, dans le corridor, près de l'entrée.
Alors que je me dirigeais  vers l'adolescence, 
les souvenirs de ces conversations
de mon enfance ne m'ont jamais quitté.

Souvent, lors des moments de doute et de difficultés, je me rappelais ce doux sentiment de sécurité que j'avais à cette époque.

J'appréciais maintenant la patience,
la compréhension et la gentillesse
qu'elle a eue à consacrer de son temps
pour un petit garçon.

Quelques années plus tard, 
alors que je me dirigeais au Collège, à Montréal, mon avion devait faire une escale à Québec.

J'avais donc près d'une demi-heure entre le transfert d'avion. J'ai donc passé 15 minutes
au téléphone avec mon frère,
qui vit toujours à Québec.

Ensuite, sans penser vraiment 
à ce que je faisais, j'ai composé le « 0 »
et dit « Renseignement SVP »

Miraculeusement, j'entendis alors cette même petite voix claire que je connaissait si bien :
« Renseignement » 
Je n'avais rien prévu de  tout ça, 
mais je m'entendis lui dire :
« Pouvez-vous m'aider
à épeler le mot réparation ? »


Il y a eu un long moment de silence.  Ensuite,  j'entendis une voix si douce me répondre :
« Je suppose que ton doigt   doit être guéri maintenant »


 Je me mis à rire et  lui dit  :

« C'est donc toujours vous !
Je me demande si vous avez la moindre idée comme vous étiez importante pour moi pendant toutes ces années »
 
« Je me demande
dit-elle
si tu sais combien tes appels étaient importants pour moi.
Je n'ai jamais eu d'enfant
et j'étais toujours impatiente
de recevoir tes appels »
Je lui ai dit comment, si  souvent, j'ai pensé à elle au cours  de ces dernières années 
et je lui ai demandé si je pourrais la rappeler, lorsque je reviendrais visiter mon frère.

« Je t'en prie,
tu n'auras qu'à demander Sally »
   me répondit-elle.


 Trois mois plus tard, 
alors que j'étais de nouveau à Québec,
une voix différente me répondit :

« Renseignement »

J'ai donc demandé à parler à Sally.


« Êtes-vous un ami ? »
me demanda la voix inconnue  Je lui répondis :  « Oui, un vieil ami »  

J'entendis alors la voix me  dire :

« Je suis désolée d'avoir à vous dire ça, Sally ne travaillait plus qu'à
temps partiel ces dernières années
parce qu'elle était très malade.
Elle est morte il y a cinq semaines déjà »
 
Avant même   que je n'ai le temps de raccrocher, elle me dit :
« Attendez une minute.
M'avez-vous dit que votre nom était Paul? »

Je répondis « Oui » .  

« Et bien,   Sally a laissé un message pour vous.
Elle l'a écrit, au cas où vous appelleriez. Laissez-moi vous le lire... »
  
Ce message disait :

Dites-lui que je crois toujours  qu'il y a d'autres mondes
où l’on peut chanter.   Il saura ce que je veux dire...


Je lui dis donc merci et raccrochai. 
Et oui, je savais ce que Sally voulait dire...

 Ne sous-estimez jamais l'influence  que vous pouvez avoir sur les autres. 

  La vie de qui avez-vous touché aujourd'hui ?

samedi 8 juin 2013

On nous raconte des salades ?



 
On ne recule devant rien pour faire du fric...... 

J‘ai pensé qu’on m’avait raconté des salades, tellement cela me paraissait gros qu’on joue comme ça avec la santé des humains et j’ai voulu en avoir le cœur net concernant le désherbant pour blanchir les salades

  Après une rapide recherche sur Google, je suis tombé sur le derrière ! Lisez plutôt: 

  Il existe de nombreux sujets tabous en France. L’augmentation alarmante du nombre de cancers en est un. Le sujet des pesticides et de l’ensemble des produits phytosanitaires en est un autre. Notre société sait qu’il y a corrélation entre les deux, mais l’ensemble des pouvoirs publics et des médias préfère fermer les yeux. Pourtant, les légumes qui sont à l’étalage ont l’air bien honnête, bien mignon et bien proprets. Bien rassurants en tous cas. Peut-être un peu trop justement.
Qu’elle est belle cette scarole au cœur jaune-blanc que l’on trouve au rayon des légumes ! Pourtant, les jardiniers savent que ce n’est pas facile d’obtenir ce cœur clair, même en retournant un pot de fleur sur la salade une semaine avant la cueillette pour que l’absence de lumière la blanchisse.

  

Un ami qui travaille chez un maraîcher raconte : la solution de ce maraîcher pour blanchir la scarole est simple : un léger coup de désherbant sur la salade juste au moment de la commercialisation. Oui, vous avez bien lu : un désherbant !
Et si cette pratique était courante ? En en parlant autour de moi, je me suis rendu compte que les producteurs de pommes de terre faisaient une opération similaire : au lieu de  faucher les fanes des pommes de terre, ils traitent le champ avec un « défanant » (qui n’est autre qu’un désherbant) une semaine avant la récolte. Et tous les résidus se retrouvent dans notre assiette.
- Jean-Luc est atteint d’un cancer. Les cancérologues de Besançon lui ont conseillé de ne manger que des légumes de son jardin ou des légumes dont il est sûr de la provenance. La profession médicale doit certainement savoir des choses …Nul doute que l’utilisation de produits phytosanitaires est une bombe à retardement et que tout ça est en train de nous sauter en pleine tête, comme le montre l’exemple des bananes de la Martinique. Cela me fait penser à un propos de Pierre Rabhi lors de sa conférence à Besançon : « Et si, avant un repas, au lieu de se dire Bon appétit, on se disait plutôt Bonne chance »

 

La nature est une richesse elle nous est offerte gratuitement préservons là ...

 

 

 


 
 
 
 
 

vendredi 7 juin 2013

Les dernières volontés d'Alexandre Le Grand

Les dernières volontés d'Alexandre Le Grand (FONDATEUR D'ALEXANDRIE)






 


 

 
Images intégrées 2
      

Le temps est le trésor le plus précieux que nous ayons...
 
Les dernières volontés d'Alexandre Le Grand


Sur le point de mourir, Alexandre convoqua ses généraux
et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences :

1 - Que son cercueil soit transporté à bras d'homme
par les meilleurs médecins de l'époque.

2 - Que les trésors qu'il avait acquis (argent, or, pierres précieuses... ),
soient dispersés tout le long du chemin jusqu'à sa tombe, et...

3 - Que ses mains restent à l'air libre se balançant en dehors du cercueil à la vue de tous.


L'un de ses généraux, étonné de ces requêtes insolites,
demanda à Alexandre quelles en étaient les raisons?

Alexandre lui expliqua alors ce qui suit :


1 - Je veux que les médecins les plus éminents transportent eux-mêmes mon cercueil pour démontrer ainsi que face à la mort, ils n'ont pas le pouvoir de guérir...


2 - Je veux que le sol soit recouvert de mes trésors pour que tous puissent voir que les biens matériels ici acquis, restent ici-bas...


3 - Je veux que mes mains se balancent au vent, pour que les gens puissent voir que, les mains vides, nous arrivons dans ce monde et, les mains vides, nous en repartons quand s'épuise pour nous le trésor le plus précieux de tous :
le temps
...


En mourant, nous n'emportons aucun bien matériel avec nous;
bien que les bonnes actions, je pense, soient une espèce de chèques de voyage.

"LE TEMPS" est le trésor le plus précieux que nous ayons parce qu'il est Limité.
Nous pouvons produire plus d'argent, mais pas plus de temps.


Quand nous consacrons du temps à quelqu'un,
nous lui accordons une portion de notre vie que nous ne pourrons jamais récupérer, notre temps est notre vie.

LE MEILLEUR CADEAU
que tu puisses donner à quelqu'un est ton TEMPS et accorde-le TOUJOURS à la FAMILLE, au CONJOINT ou à des BONS AMIS.  

lundi 3 juin 2013

*Irena Sendler. 1942- 2008


*Irena  Sendler. 1942- 2008*

 Les prix ne vont pas
toujours à ceux qui les méritent !      **
Récemment  décédée à 98 ans.**Elle demanda  pendant la
2ème guerre mondiale à aller  travailler dans le
Ghetto de Varsovie, comme plombier, serrurier.    *
Elle avait  une motivation bien  particulière.


Elle  connaissait les plans d'extermination
des nazis  envers les juifs, elle était  allemande.

Irena a caché des enfants dans le fond de sa boite à  outils
qu'elle transportait à l'arrière de son  véhicule ainsi qu'un grand sac (pour les enfants plus grands)  **Elle avait aussi un chien à l'arrière qu'elle
a entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlait  à l'entrée
et à la sortie du  ghetto.  **Les soldats  ne pouvaient rien contre le chien
qui couvrit en  fait le bruit que pouvait faire les  enfants.*
*Elle sauva  2500 enfants en les cachant
ainsi.  **
Elle fut  arrêtée et les nazis lui brisèrent les jambes,  les bras et la torturèrent très sévèrement. Irena garda tous les noms des  enfants qu'elle avait fait partir du Ghetto et garda ces noms dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre au fond de son jardin derrière  sa maison.  Après la guerre, elle essaya de  localiser tous les parents qui avaient pu
survivre et tenta de réunir les familles; mais  la plupart avaient été
gazés. Les enfants qui  avaient été sauvés ont été placés dans des 
familles d'accueil ou ont été  adoptés.   L'année  dernière elle a été proposée pour le prix Nobel  de la Paix, mais n'a pas été  retenue;*
c'est Al Gore  qui fut primé pour son film sur le  réchauffement de la planète. 

En sa mémoire 63 ans plus tard, Je participe à cet anniversaire, très
modestement en faisant suivre ce  message.  J'espère que vous ferez
de  même..