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mercredi 31 août 2011

La parole

IL PARAÏT QUE LA PAROLE MOBILISE 72 MUSCLES ! Alors qu'on ne me dise pas que je ne fais pas d' exercises,lol

jeudi 25 août 2011

Les 2 Verbes ennemis


Les 2 Verbes ennemis
Loin des vieux livres de grammaire,
Écoutez comment un beau soir,
Ma mère m'enseigna les mystères
Du verbe être et du verbe avoir.
Parmi mes meilleurs auxiliaires,
Il est deux verbes originaux..
Avoir et Être étaient deux frères
Que j'ai connus dès le berceau.
Bien qu'opposés de caractère,
On pouvait les croire jumeaux,
Tant leur histoire est singulière.
Mais ces deux frères étaient rivaux.
Ce qu'Avoir aurait voulu
être. Être voulait toujours l'avoir.
À ne vouloir ni dieu ni maître,
Le verbe Être s'est fait avoir.
Son frère Avoir était en banque
Et faisait un grand numéro,
Alors qu'Être, toujours en manque.
Souffrait beaucoup dans son ego.
Pendant qu'Être apprenait à lire
Et faisait ses humanités,
De son côté sans rien lui dire
Avoir apprenait à compter.
Et il amassait des fortunes
En avoirs, en liquidités,
Pendant qu'Être, un peu dans la lune
S'était laissé déposséder.
Avoir était ostentatoire
Lorsqu'il se montrait généreux,
Être en revanche, et c'est notoire,
Est bien souvent présomptueux.
Avoir voyage en classe Affaires.
Il met tous ses titres à l'abri.
Alors qu'Être est plus débonnaire,
Il ne gardera rien pour lui.
Sa richesse est tout intérieure,
Ce sont les choses de l'esprit.
Le verbe Être est tout en
pudeur, Et sa noblesse est à ce prix.
Un jour à force de chimères
Pour parvenir à un accord,
Entre verbes ça peut se
faire,Ils conjuguèrent leurs efforts.
Et pour ne pas perdre la face
Au milieu des mots rassemblés,
Ils se sont répartis les tâches
Pour enfin se réconcilier.
Le verbe Avoir a besoin d'Être
Parce qu'être, c'est exister.
Le verbe Être a besoin d'avoirs
Pour enrichir ses bons côtés.
Et de palabres interminables
En arguties alambiquées,
Nos deux frères inséparables
Ont pu être et avoir été.
Joli non ?
Bien loin des contenus humoristiques des envois habituels.

Tu es comme ça !

Tu dis " TOUT VA BIEN" même quand ça va mal ,
♥♥♥ Tu souris même quand tu as envie de pleurer,
♥♥♥ Tu  continues de te battre même quand tu as envie de baisser les bras ,
♥♥♥ Tu remontes le moral à tes amis quand toi même tu l'as pas,
C'est ce que l'on appelle la force du caractère
__

♥♥♥ ♥♥♥ ♥♥♥

Je sais 11 trucs sur toi:
1) Tu es en train de lire ça
2) Tu es super chouette
3) Tu ne peux pas dire "P" sans toucher les lèvres
4) Tu viens d'essayer
.......................6) Tu as cliqué sur "Afficher La Suite"
7) Tu rigoles
8) T'as même pas remarquer que t'as loupé le n°5
9) Tu viens de regarder si il n'y avait vraiment pas le n°5
10) Tu as rigolé pour ça car tout le monde le fait
11) Tu vas le renvoyer à tes amis pour les faire rigoler
^_^
♥ 

A l’aube de la rentrée scolaire ceci est toujours d’application.

A l’aube de la rentrée scolaire ceci est toujours d’application.

Il ya une éducation qui est GRATUITE:-C’est celle que vous pouvez et devez  inculquer à vos enfants, car avoir un enfant c'est bien ! Bien l'élever, c'est beaucoup mieux !.

Apprenez-leur à tout respecter et non pas à détruire, à ne pas mentir, à ne pas voler, à être responsable, travailleur, attentionné,solidaire et avoir des valeursne pas être violents ni en actes ni en paroles,à ne pas se laisser manipuler par les autres. Il est bon de luter pour une éducation de qualité, mais, l'éducation commence à la maison, ce n’est pas à l’école qu’on va le faire,  les enseignants instituteurs / professeurs sont là pour leur apprendre à lire et écrire et tout ce qu’ils doivent apprendre pour  pour devenir ce qu'ils choisiront d'être pour leur futur. La seule façon de changer cela c’est de changer le présent pour que nous ayons un avenir meilleur.
Si vous êtes d’accord avec ceci, faites un copier copier coller sur votre mur.

mercredi 24 août 2011

Belle leçon, belle histoire !


Belle leçon, belle histoire !





J'étais à l'épicerie du coin en train d'acheter des pommes de terre nouvelles. J'ai remarqué un petit garçon, d'ossature délicate, pauvrement vêtu, mais propre, regardant avec envie un panier de fèves vertes fraichement cueillies.

>

> J'avais déjà payé pour mes pommes de terre, mais je me suis arrêté aux fèves vertes. J'adore la soupe aux fèves et aux patates. Choisissant des fèves, je ne pus m'empêcher d'entendre la conversation entre Monsieur Miller (le propriétaire du magasin) et le pauvre garçon qui était à côté de moi.

>

> « Bonjour Barry, comment vas-tu aujourd'hui? »

>

> « Bonjour Monsieur Miller, ça va bien merci. J’étais juste en train d'admirer vos fèves. Elles ont l'air vraiment très bonnes. »



« Elles sont bonnes Barry ! Comment va ta mère ? »

>

> « Bien. Elle n'arrête pas de mieux se porter. »

>

> « Bien. Puis-je faire quelque chose pour toi? »

>

> « Non Monsieur, je ne faisais qu'admirer ces fèves. »

>

> « Voudrais-tu en rapporter à la maison? » demanda Monsieur Miller.

>

> « Non Monsieur, je n'ai rien pour les payer. »

>

> « Et bien, que pourrais-tu me donner en échange de quelques fèves? »

>

> « Tout ce que j'ai, c'est ma précieuse bille que voici. »

>

> « C'est une vraie? Laisse-moi la voir. » Dis Monsieur Miller.

>

> « Voici, elle est de qualité. »

>

> « Oui, je peux voir ça. Humm, la seule chose c'est qu'elle est bleue et j'en recherche une rouge vif. En as-tu une rouge comme ça chez toi? »

>

> « Pas rouge vif, mais presque... »

>

> « Tu sais quoi ? Ramène ce sac de fèves avec toi à la maison et quand tu repasseras dans le coin, tu me montreras cette bille rouge » lui dit Monsieur Miller.



« Bien sûr Monsieur Miller. Merci. »

>

> Madame Miller, qui était debout juste à côté, est venue pour m'aider... Avec un sourire, elle a dit : « Il y a 2 autres garçons comme lui dans notre quartier, les trois sont dans des conditions vraiment précaires. Jim adore marchander avec eux pour des fèves, des pommes, des tomates ou n'importe quoi d'autre. Lorsqu'ils reviennent avec leurs billes rouges, et ils le font toujours, Jim décide que finalement il ne veut plus de rouge et les renvoie chez eux avec un sac d'une autre marchandise en échange d'une bille verte ou une orange, lorsqu'ils reviendront au magasin. »

>

> J'ai quitté le magasin avec un sourire au cœur, impressionné par cet homme. Peu de temps après j’ai déménagé et je me suis installé au Colorado, mais je n'ai jamais oublié l'histoire de cet homme, des garçons et leurs marchandages de billes.

>

> Plusieurs années passèrent, chacune plus rapidement que les précédentes. Récemment j'ai eu l'occasion de visiter de vieux amis dans ce quartier de l'Idaho et pendant que j'y étais, ce Monsieur Miller est décédé.

>

> Il y avait les funérailles ce soir-là et sachant que mes amis désiraient s'y rendre, je les ai accompagnés. À notre arrivée au salon, nous étions dans une ligne pour rencontrer les personnes éprouvées et leur offrir nos sympathies.

>

> Devant nous dans la ligne il y avait trois jeunes hommes. L'un d'eux était en uniforme de l’armée et les deux autres hommes étaient bien coiffés, en habits noirs et chemises blanches... Tous paraissant vraiment bien. Ils s'approchèrent de Madame Miller, qui était debout calme et souriante à côté du cercueil de son mari. Chacun des trois jeunes hommes lui fit une caresse, l'embrassa sur la joue, lui parla brièvement et s'approcha du cercueil.

>

> Ses yeux bleus clairs rougis les suivirent et, un par un, chacun des jeunes hommes s'arrêta brièvement et mis sa main tout au-dessus de la main pâle et froide dans le cercueil. Chacun d'eux sortit maladroitement du salon, en essuyant ses yeux.



C'était notre tour de rencontrer Madame Miller. Je lui ai dit qui j'étais et lui rappelai l'histoire d'il y avait longtemps et ce qu'elle m'avait raconté concernant les marchandages de billes. Avec ses yeux brillants, elle prit ma main et me conduisit au cercueil.

>

> « Ces trois jeunes hommes qui viennent juste de partir étaient les garçons dont je vous parlais. Ils viennent tout juste de me dire combien ils avaient apprécié la façon dont Jim les "marchandait". Maintenant, finalement, puisque Jim ne pouvait plus changer d'avis concernant la couleur ou la grosseur de la bille... ils sont venus payer leur dette. »

>

> « Nous n'avons jamais eu l'occasion de faire fortune dans ce monde " me confia t'elle, mais actuellement, Jim se serait considéré comme l'homme le plus riche de l'Idaho.» Avec tendresse, elle leva les doigts de son mari décédé. En-dessous de sa main se trouvaient trois billes d'un rouge éclatant.

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> La morale : on ne se souviendra pas de nous par nos paroles, mais par nos bonnes actions... La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations que nous prenons, mais par les moments qui font que l'on retient notre respiration...

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> Aujourd'hui je vous souhaite une journée remplie de ces petits bonheurs : du café frais que vous n'avez pas préparé vous-même... Un coup de téléphone d'un vieil ami... Des feux verts sur votre chemin pour vous rendre au travail... La ligne la plus rapide à l'épicerie... Une bonne chanson à la radio... Vos clés retrouvées à la même place que vous les aviez laissées.

mardi 23 août 2011

Une maman c'est ça...


Pour une maman son enfant passera avant elle, avant tout le monde
Une maman pense à ses enfants, même s'ils sont au bout du continent.
Une maman aime ses enfants d'une manière qu'ils ne comprendront jamais.
Une maman sera là pour ses enfants quand personne d’autre ne le fera.
Une maman aime ses enfants, même quand ils la négligent et la blessent.
Une maman ne supportera jamais la perte de son enfant,elle priera Dieu de l'emmener à sa place