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lundi 23 février 2009

Confucius

Confucius (551-479 av. J-C), philosophe chinois dont le patronyme était Qiu et le prénom Zhongni, est né à Quyi, ville de la principauté de Lu, aujourd'hui Qufu, dans la province du Shandong. Instruit par sa mère, Confucius cultive la curiosité d'apprendre comme la passion d'enseigner ; et sa maîtrise des arts va le propulser au sommet d’une brillante carrière.
Il s'implique aussi en politique, souhaitant mettre ses idées humanistes en pratique auprès des gouvernements. Il devient magistrat puis ministre de la Justice dans l'État de Lu. À 56 ans, il réalise finalement que ses supérieurs ne sont pas intéressés par ses idées et quitte le pays pour un exil de quatorze ans.
Il laisse en héritage la croyance dans la capacité de l'homme ordinaire à modifier son propre destin. En contraste avec son incroyable influence, la vie de Confucius est d'une simplicité exemplaire.
Pendant ce temps sa réputation d'homme de vision se répand. À 67 ans, il retourne chez lui pour enseigner et écrire. Ses «Entretiens» et ses théories, largement popularisés par ses disciples, constituent une doctrine de perfectionnement moral.
Grand érudit aux multiples talents, sa réputation s'étendait dans des contrées lointaines. Éminent pédagogue et surdoué, Confucius est considéré dans de nombreux pays comme le modèle des enseignants.
Homme politique et philosophe, Confucius est l'une des grandes figures de la civilisation de la Chine ancienne et le fondateur du système éducatif féodal. Dans l'Antiquité, Confucius était considéré comme le «premier des sages», et le «modèle de dix mille générations».
De nos jours, on reconnaît en lui une des plus grandes figures de la civilisation. Sa contribution à l'éducation et le rôle remarquable et durable qu'il a joué dans ce domaine, lui assurent une place exceptionnelle non seulement dans l'histoire nationale et internationale de l'éducation, mais aussi dans celle de la culture.
La conception de l'école dont il fut le père est d'une portée toujours présente. Depuis quelques années, Confucius est de nouveau à la mode, redevenant un sujet d'étude et d'évaluation pour les grands penseurs. Personnage énigmatique aux yeux des Occidentaux, ses écrits recèlent de véritables trésors, même 2 500 ans après sa mort…

Faire le bien sans chercher de récompense, fuir le mal sans avoir la crainte du châtiment :

Il reste toujours du parfum à la main qui donne des roses.

Celui qui ajoute de nouvelles connaissances aux anciennes est le véritable enseignant.

Il est plus facile de se défendre du chagrin dans la pauvreté que de l'orgueil dans l'opulence.

Ne vous souciez pas d'être sans emploi ; souciez-vous plutôt d'être digne d'un emploi.

J'entends et j'oublie. Je vois et je me souviens. Je fais et je comprends.

Des habitudes viennent les différences.

Choisissez un métier que vous aimez et vous n'aurez plus à travailler un seul jour de votre vie.

Le silence est un ami qui ne trahit jamais.

Tous les hommes pensent que le bonheur réside au sommet de la montagne, alors qu’il se trouve dans la façon de la gravir.

Le sage s'applique à être lent dans ses paroles et diligent dans ses actes.

L'expérience est une lanterne accrochée dans le dos qui n'éclaire que le chemin parcouru.

La joie est en tout, il faut savoir l'extraire.

Savoir que l'on sait ce que l'on sait, et savoir que l'on ne sait pas ce que l'on ne sait pas : voilà la véritable intelligence.

Si tu veux juger les moeurs d'un peuple, écoute sa musique.

Je ne cherche pas à connaître les réponses,
je cherche à comprendre les questions.


La nature fait les hommes semblables, la vie les rend différents.

Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de question.

L’homme de bien ne demande rien qu’à lui-même ; l’homme de peu demande tout aux autres.

Que l’on s’efforce d’être pleinement humain et il n’y aura plus de place pour le mal.

Ce n'est pas un malheur d'être méconnu des hommes, mais c'est un malheur de les méconnaître.

Le sage ne s'afflige pas de ce que les hommes ne le connaissent pas ;
il s'afflige de ne pas connaître les hommes.


Quand vous plantez une graine, vous obtenez une seule et unique récolte. Quand vous instruisez les gens, vous en obtenez cent.

Examine si ce que tu promets est juste et possible, car la promesse est une dette.

Quand on ne sait pas ce qu'est la vie, comment pourrait-on savoir ce qu'est la mort ?

Notre plus grande gloire n'est pas de ne jamais tomber, mais de nous relever chaque fois que nous tombons.

Qui ne connaît la valeur des mots ne saura connaître les hommes. Lorsque les mots perdent leurs sens, les hommes perdent leur liberté.

Apprendre sans réfléchir est vain.
Réfléchir sans apprendre est dangereux.
Hélas ! Je n'ai encore vu personne qui aimât la
vertu comme on aime la beauté corporelle.

Nulle pierre ne peut être polie sans friction,
nul homme ne peut parfaire son expérience sans épreuve.


Ne vous souciez point de ne pas être remarqué ;
cherchez plutôt à faire quelque chose de remarquable.

Après une faute, ne pas se corriger, c'est la vraie faute.
Celui dont la pensée ne va pas loin verra ses ennuis de près.
Une image vaut mille mots.
La lumière brille plus pour les yeux qui la cherchent.

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