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mercredi 22 avril 2009

Qu`est-ce qu`une maman?

( Lettre d`un père à sa fillette )

Depuis deux semaines, tu te creuses la tête pour trouver le petit cadeau qui plaira à ta maman. Sais-tu au juste ce que c'est une maman?

Sais-tu vraiment ce qu'est une maman?

Laisse-moi te le dire à ma manière.
Nous avons attendu longtemps ta naissance, ma petite... Bien plus longtemps que les dix mois lunaires dont on parle dans les livres. Nous avons attendu des années. Je désespérais de devenir père. Mais ta mère restait confiante.
Une maman ça s'appelle Espérance.
Finalement, nos prières furent exaucées, et tout près du coeur de ta maman, Dieu déposa ton âme pour qu'elle puisse l'habiller d'un corps humain :
travail long et difficile.
Pour toi, ta maman a troqué une partie de sa santé.
Mais elle ne s'est jamais plainte. Elle était heureuse.
Une maman ça s'appelle Amour.
Puis tu es arrivée, comme un dictateur, bouleversant notre vie et nos habitudes. Tu étais belle à croquer mais tu avais le don d'exaspérer. Si la dernière gorgée de ton biberon te déplaisait, tu la vomissais n'importe où, n'importe quand, sans formalité.
Et lorsque ta mère t'avait lavée, pomponnée, parfumée, qu'elle t'avait vêtue de ta robe que je préférais pour aller visiter des amis, tu nous faisais un de ces dégâts à faire rêver au célibat à un homme .
Pour adoucir mon humeur massacrante, ta maman se mettait à rire. Et hop! elle t'amenait dans la chambre en minaudant, "petit cochon va!"
Dix minutes plus tard, toutes les traces de ton exploit disparues et ta mère me présentait mon héritière plus ravissante qu'auparavant.
C'est parce qu'une maman, ça s'appelle Patience.
Tu as une bicyclette parce que ta mère n`a pas eu une montre neuve.
Tu as un "Walkman" parce que ta mère n'a pas acheté le bibelot dont elle rêvait.

Tu reviens de chez la coiffeuse parce que ta mère se met des bigoudis.
Ta maman s'est privée d'une foule de petites choses, et aussi des grandes. Que de voyages elle a sacrifiés, que d'heures de sommeil elle a cédées, que d'inquiétudes elle a déposées aux pieds du Créateur pour que tu grandisses heureuse.
Une maman, ça s'appelle Renoncement!
Tu te crois grande et tu rêves d'indépendance.
Tu veux voler de tes propres ailes, et je conviens que c'est naturel. Mais tu n'es pas aussi sage que tu le crois.
Tu feras des faux-pas et force me sera de sévir,
c'est un devoir.
Mais toujours ta maman sera là pour te prendre dans ses bras, cueillir tes larmes de repentir, pour t'embrasser, même quand tu l'auras blessée profondément.
Une maman ça s'appelle avant tout Miséricorde!
P.S. à mon épouse:
Ne me fais pas les gros yeux si j'ai offert cet hommage sincère, c'est qu'il dit ce que beaucoup pensent dans leur foyer. Je crois qu'il est bon qu'on mette à jour les qualités qui font d'une femme une maman, même si je sais que toi, comme ma maman, comme la tienne, et comme toutes les mamans du monde,
tu t'appelles Humilité.
Auteur: Anonyme

Ah fragile nouveau né qui pointe ton nez dehors,

Tu veux rentrer de suite et te baigner encore,

Plonger une dernière fois dans l’liquide amniotique,

Loin de ce monde fou, de ce monde hystérique.

Mais la sage femme insiste impitoyablement,

Alors tu dois sortir, contrarié et hurlant.

Ah plutôt que de t’énerver,

Te battre, frapper, te révolter,

Manifester ou défiler,

Pétitionner, ameuter,

En guise de protestation

Ecris donc une jolie chanson !

Et te voilà ado, voyant le temps passer,

Du nid tu veux sortir, un autre air respirer,

Mais tes parents bornés et très autoritaires

Veulent t’attacher les ailes, alors toi très amer

De colère tu exploses, menaçant de fuguer

Devant tes géniteurs interdits, médusés.

Les études achevées, gare au chef de service

Qui joue les dictateurs et te met au supplice,

Hautain et dominant, pareil à un vieux cerf,

Il ne te pardonne pas le moindre petit impair.

Ne te maîtrisant plus, outils, marteau et clé

Atterrissent brutal’ment sur son crâne pelé.

Et tu rencontres l’autre qui t’attache à sa main,

Le morne quotidien, les joies et les chagrins,

Et l’enfant qui va naître, petit bout de bonheur

Qui devient un peu vite un sac à merde hurleur.

Alors toi fatigué, tu commences à douter,

A rêver d’un envol vers de nouvelles contrées.

Tes cheveux s’éclaircissent et tes rides se creusent,

Voici enfin le temps de la retraite heureuse.

Les beaux voyages en car, les jolis monuments

Et puis les g’noux qui craquent et les douleurs aux flancs,

En plus l’argent qui manque, les enfants sont gourmands,

Alors la grogne s’installe définitivement.

Et puis la trop célèbre et maudite camarde,

Qui sans prévenir vient te chercher camarade,

Et t’offre gentiment un coin de cimetière

Pour que tu te reposes de la plus belle manière.

Mais toi tu veux rester et fortement proteste,

Tu lui bottes les oss’lets, de sa faux la moleste .

Enfin bien endormi dans ta boîte à dentelle,

O bonheur absolu, l’inexistence est belle,

Un horrible barbu, un dieu de je n’sais où ?

Te réveille sans remord, brutal’ment te secoue ,

Direction l’paradis ou l’enfer ou ailleurs,

Ce qui te met dans une post-mortem fureur.

Refrain…

Ah plutôt que de t’énerver,

Te battre, frapper, te révolter,

Manifester ou défiler,

Pétitionner, ameuter,

En guise de protestation

Ecris donc une jolie chanson !

Ecris donc une… jolie chanson !


LORSQUE L'ENFANT PARAIT


Lorsque l'enfant paraît, le cercle de famille
Applaudit à grands cris; son doux regard qui brille
Fait briller tous les yeux,
Et les plus tristes fronts, les plus souillés peut-être,
Se dérident soudain à voir l'enfant paraître,
Innocent et joyeux.
Soit que juin ait verdi mon seuil, ou que novembre
Fasse autour d'un grand feu vacillant dans la chambre
Les chaises se toucher,
Quand l'enfant vient, la joie arrive et nous éclaire;
On rit, on se récrie, on l'appelle, et sa mère
Tremble à le voir marcher.
......................................................
Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire,
Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire,
Ses pleurs vite apaisés,
Laissant errer sa vue étonnée et ravie,
Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie,
Et sa bouche aux baisers !
Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j'aime,
Frères, parents, amis, et mes ennemis même
Dans le mal triomphants,
De jamais voir, Seigneur, l'été sans fleurs vermeilles,
La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles,
La maison sans enfants !


Victor Hugo

Avant d'être maman...

Je cuisinais et savourais de bons repas chauds;
Mes vêtements étaient toujours sans taches;
Je parlais tranquille des heures au téléphone;

Je faisais la grasse matinée quand je voulais;
Et je ne m'inquiétais pas de me coucher tard;
Je brossais mes cheveux et mes dents chaque jour;

Je rangeais la maison chaque matin;
Je n'avais jamais trébuché sur un jouet;
Ou oublié les mots d'une berceuse;

Je ne m'inquiétais pas de savoir si mes plantes étaient toxiques;
Je n'avais jamais pensé aux vaccins;

On ne m'avait jamais vomi dessus, ni tiré les cheveux,
ni pincée avec des doigts minuscules;

J'avais toujours le contrôle de mon esprit, de mes pensées et de mon corps;
Je dormais chaque nuit;

Je n'avais jamais tenu dans mes bras un enfant qui hurlait pour
que le médecin puisse lui donner une piqûre;

Je n'avais jamais pleuré en regardant des yeux en larmes;
Ni pensé qu'une simple grimace pourrait me rendre heureuse;
Je n'étais jamais restée debout tard dans la nuit pour admirer un bébé endormi;

Je n'avais jamais tenu un bébé endormi juste parce que je ne
voulais pas le mettre dans son lit;

Je n'avais jamais senti mon coeur se briser en miettes parce que je ne
pouvais pas soulager sa douleur;

Je n'avais jamais pensé que quelque chose d'aussi petit puisse tant déranger ma vie;

Je ne me doutais pas que je pourrais aimer quelqu'un à ce point;
J'ignorais que j'aimerais tant être maman;

Je ne connaissais pas le plaisir de donner à manger à un enfant affamé;
Je n'avais jamais connu ce lien unique entre une mère et son enfant;

Je ne m'étais jamais levée au milieu de la nuit aux 10 minutes
pour m'assurer que tout allait bien;

Je ne connaissais pas la chaleur, le bonheur, l'amour,
le chagrin et la satisfaction d'être maman.



Aujourd'hui, je sais... !


Le cœur d’une maman aime sans conditions.

Car elle adore ses petits rejetons.

Son cœur nous aime sans condition

Il voit toujours le bonheur à l’horizon.

Le cœur d’une maman déborde d’affection.

Peu importe la situation.

Quoi de plus fort et de plus franc.

Qu’un amour maternel?

Toujours présent,

Puisqu ’il est éternel.

Une maman est un rayon de soleil
C'est le temps pour les fleurs de fleurir
Elle se précipite sur elles comme une abeille
Que par maman aiment se faire envahir

Heureusement, tu me sort toujours de l’impasse.

Avec toi on se sent important

Et malgré le temps qui passe…

JE T’AIME ma chère MAMAN



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